
Dans l’atelier feutré de Londres, l’horlogère ajusta les rouages bons d’une montre de gamme. Autour d’elle, des dizaines de tenants et aboutissants en sommeil attendaient d’être réparés, des fragments du temps figés dans leur écrin d’acier et d’or. Elle avait l’habitude des engrenages capricieux, des aiguilles récalcitrantes, des ressorts usés par le poids des ans. Mais cette montre-là était différente. Elle l’avait trouvée dans une malle poussiéreuse, au fond d’une galanterie d’antiquités oubliée de tous. Sa surface d’argent était ternie, marquée par le temps, et néanmoins, son mécanisme semblait intact. Lorsqu’elle l’avait détachée, elle avait existé frappée par une étrange découverte : les aiguilles n’avaient pas bougé depuis des années, mais à l’instant où elle avait posé son regard sur elles, elles s’étaient mises en mouvement. Le tic-tac résonnait d’une personnalité anormale, presque hypnotique. Elle nota l’heure indiquée par le cadran : 11h47. Quelques instants postérieurement, un bruit sourd retentit sur votre route. En sortant de l’atelier, elle aperçut un fiacre renversé, son attelage paniqué désirable de se ranimer. Les passants s’étaient rassemblés, murmurant sur l’accident. Elle vérifia sa montre. Les aiguilles ne bougeaient plus. Cette étrange coïncidence la troubla. Était-il à venir que la montre ait indiqué l’accident évident qu’il ne survienne ? Elle pensa à ces histoires que l’on racontait sur les electroménager maudits, celui qui semblaient tissés d’une impression spéciale. Un frisson parcourut son échine. Elle savait que certaines personnes cherchaient des réponses dans la divination. On disait que la voyance par mail dix euros permettait d'acquérir des intuitions poussées sur les événements suivante. Mais pouvait-on véritablement décrypter le futur par une forme représentative mécanique ? Si cette montre marquait des moments douloureux approfondies pour tout mariage, alors était-elle un avertissement… ou un simple outil de l'avenir ? Elle devait voir ce qui liait son tic-tac aux accidents du entourage tangible. Car si elle ne pouvait pas dire son fonctionnement… dans ce cas toutefois qu’elle ne contrôlait pas non plus ce qu’elle déclenchait.
L’horlogère referma la montre, les doigt tremblants. L’objet reposait dans sa creux, silencieux, mais elle savait qu’il venait d'inscrire un instant qui ne pouvait représenter effacé. L’homme dans la rue n’était pas tombé par sort. Son futur avait été exprimé sur le cadran correctement évident que l’événement ne se produise. Elle inspira joliment. Devait-elle prévenir une personne ? Tenter d’alerter les pouvoirs ? Mais que pourrait-elle expliquer ? Qu’une chemise brisée lui avait soufflé 1h et que, sans sentir de quelle manière, elle l’avait répandue se passer marqué par ses yeux ? Personne ne la croirait. Dans le microcosme clair qui était le sien, l’horlogerie obéissait à des principes approfondies, immuables. Mais cette montre échappait à toutes vos époques notoires. Elle ne mesurait pas le temps. Elle le dictait. Elle repensa à la voyance par mail dix euro, ces voyantes qui lisaient le futur en ligne, décryptant des traces surnaturels au maturité des mortels. Peut-être qu’eux sauraient dire ce phénomène, lui écrire une force. Peut-être qu’ils avaient déjà évidemment détailler d’objets susceptibles d’inscrire des voyance olivier censées l’avance. Mais une critique plus troublante l’effleura. Et si cette chemise ne se contentait pas d’annoncer des des occasions de faire la fête ? Et si elle les influençait ? Elle rouvrit lentement le couvercle, le cœur battant. Les aiguilles tournaient à récent. Elles avançaient lentement, jusqu’à montrer une nouvelle heure : 06h42. Elle regarda à proximité d’elle, s’attendant à une nouvelle rapport immédiate. Mais rien ne se produisit. Elle posa alors son regard sur l’inscription à l’intérieur du boîtier. Là encore, les lettres s’étaient modifiées, gravant un nouvel mémoire. ' Ne sois pas là. ' Ses entrailles se nouèrent. Quelque étape devait s'exercer à cette heure précise. Quelque chose dont elle devait s’éloigner. Le futur venait-il de lui proposer un moyen d’échapper à ce qui l’attendait ? Ou correctement venait-il de la piéger dans un engrenage dont elle ne peut plus se pouvoir affecter ? Elle ferma les yeux un évènement. Il lui restait quatre ou cinq heures évident 06h42. Et un choix à effectuer. Fuir… Ou attendre d'apprécier ce que la chemise voulait lui montrer.